La circulation atmosphérique induit des redistributions des masses en surface de la Terre, et donc génère des variations de gravité. Une approche classique pour modéliser ces effets consiste en la détérmination d'un simple coefficient, appelé admittance barométrique, ajusté par moindres carrés entre la gravité et les variations de pression locale.
En raison de leur précision, cette approche n'est pas suffisante pour les gravimètres supraconducteurs. Il est alors nécessaire de modéliser ces effets en utilisant les champs atmosphériques (pression de surface, etc.) globaux, fournis par les centres de prévision météorologiques, comme l'ECMWF (European Centre for Medium Range Weather Forecasts).