L'apport scientifique de l'OHGE souligné dans le Journal du CNRS

Le Journal du CNRS publiait, le 30 juin, un billet signé par deux chercheurs en géosciences, Nicolas Arnaud et Jérôme Gaillardet, sur la "zone critique", fine pellicule de la planète qui inclut tout le vivant.

Les auteurs écrivent qu'il "faut pour relever ces défis réunir une armée de scientifiques à la croisée des « géo » et des « bio » sciences, de cultures différentes et toutes nécessaires : géologues, écologues, pédologues (les pédologues sont les spécialistes des sols, NDLR), biologistes, météorologues, géochimistes, géophysiciens?

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Ils soulignent également le rôle majeur des observatoires "où des mesures sont conduites de manière régulière et dans la durée, notamment en France qui en a été précurseur" et prennent pour exemple l'Observatoire hydro-géochimique de l'environnement (<link _blank>OHGE) de l'EOST, qui effectue des mesures depuis plusieurs décennies dans les Vosges.

Le programme <link _blank>Critex, piloté par le CNRS et dont l'EOST est acteur, est également cité. Il ambitionne de développer des capteurs innovants et couple pour la première fois des techniques d'exploration permettant d'enregistrer des données aussi diverses que le débit des fleuves, leur composition chimique, la teneur en eau des sols et son évaporation depuis les surfaces agricoles.

 <link https: lejournal.cnrs.fr billets une-zone-si-critique _blank zone si>Lire le billet dans le Journal du CNRS.